En début d’année, une étude est sorti assurant que les moteurs thermiques ont de belles années devant eux, à tel point qu’il serait garanti d’être encore là dans 100 ans.
Qui saura dire quel type de véhicule sera en majorité dans 20 ou 30 ans ? Alors que l’union Européenne à la volonté de cesser la vente de tous véhicules thermiques en 2035, l’électrique semble être la seule options qui semble s’offrir à l’état pour réduire l’emprunte carbonne.
Si l’europe maintient cette décision critiqué par les constructeurs, qui sont déjà en retard pour certains sur leur gammes d’éléctriques, alors elle aura retiré une bonne partie des véhicules thermiques du marché automobile dans les années à venir. Mais certains sont perplex sur cette eventuallité, notamment un allemand, Ferdinand Dudenhöffer, professeur d’économie et cofondateur de l’agence de recherche automobile CAR qui estime que « le moteur à combustion interne est sûr de continuer à vivre pendant les 100 prochaines années ».
L’allemand s’appuit sur des éléments révélateurs notamment les volontés politiques. Il pense que le gouvernement Allemand favorise la prolongation de la vie du moteur thermique en mettant un point final aux subventions d’aide à l’achat d’un véhicule éléctrique. Par ailleurs, les constructeurs offrent aussi plus de rabais sur les véhicules à moteurs thermiques.
Le gouvernement serait-il responsable du naufrage de l’éléctronique ?
Ainsi, le professeur d’économie estime que les ressources concernant les éléctriques sont déjà presque épuisées car les marques ont plus d’avantages en achetant des thermiques » Compte tenu des marges bénéficiaires plus élevées sur les voitures à moteur à thermique, il est plus facile d’accorder des remises sur ces dernières. Avec la suppression de la prime pour les voitures électriques, les marques automobiles misent d’avantage sur la vente de voitures à moteur à combustion », explique l’economiste.
Pour lui, le moteur à combustion interne à encore de beaux jours devant lui. L’écheance de 2035 semble dorenavant difficile à aborder pour les constructeurs, alors l’avenir lui donnera peut-être raison. Mais de là à supposer avoir encore des véhicules thermiques circuler sur nos routes dans 100 ans cela reste à voir !
Il faut peut-être trouver un juste milieu…